Les pilotes, connaissant les cotes, les régimes de courant et de vents et les dangers locaux ont, de tous temps, été nécessaires aux navigateurs.
Leur savoirs, d’abord transmis de bouche à oreille ont progressivement été transmis par écrit.
Les navigateurs enrichissaient à la main leurs précieuses cartes de navigation et conservaient leurs observations dans leurs journaux de bord.
De retour au port ces cartes et journaux de bord  étaient « compilés » par des cartographes professionnels qui dessinaient les portulans illustrant l’ensemble des informations connues.
C’est le début de la  cartographie.

Les portulans, œuvres d’art uniques, sommes de tous les savoirs collectés par les bavigateurs ont longtemps constitué un trésor stratégique jalousement gardés par les puissants, rois ou armateurs marchands.
Ils ont ouvert la route aux grandes navigations commerciales.

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